Le bureau directeur de l’association ‘’Le Sénat des jeunes du Bénin’’ a tenu dans la soirée de ce jeudi 12 juin 2013, une conférence de presse. L’objectif de cette réunion organisée à la viens vite était d’informer les uns et les autres de la piraterie des adresses électroniques de l’institution. C’est M. Ciano AKAMBI, le Président de l’association qui a dirigé la séance. Après avoir remercié les membres et les journalistes présents, il a félicité leur promptitude. C’est alors qu’il est revenu sur l’historique de l’association ainsi que ses objectifs fondamentaux. « C’est une nouvelle heureuse que de voir ces béninois qui croient encore en un Bénin nouveau, redoré des blasons qui ont été les siens dans l’histoire ; c’est au surplus, une grande joie que de voir ces jeunes africains qui croient également en une Afrique nouvelle et unie », a commencé le Président de l’association ‘’Le sénat des jeunes du Bénin’’ avant de continuer ; « nous avons réaffirmé récemment encore notre volonté de dépasser les frontières béninoises pour associer à notre cause les jeunes des autres Etats africains ». Seulement, des personnes mal intentionnées tapies dans l’ombre ont déjà commencé par s’ériger en barrière à cette noble cause. « Après notre passage sur la radio Rfi, nos adresses électroniques ont été piratées », a lâché avec regret M. Ciano AKAMBI avant de prier les uns et les autres à faire attention à quiconque qui essaierait de prendre contact avec eux au nom de l’institution. D’ailleurs, a-t-il rappelé aux jeunes du Bénin et des autres pays que la seule adresse de l’association est lesenatdesjeunesbenin@gmail.com. Et le numéro le +229 64737404. Ernest Houssou, un membre influent de l’association a, à sa prise de parole regretté cet acte qu’il qualifie d’ « attentat au développement de l’Afrique ». et ce n’est, peut être qu’un simple euphémisme à entendre le Chargé de mission qui lui, affligé trouve, prophétique que « ce n’est peut être que le début d’un plan de sabotage pour empêcher l’éclosion de ce mouvement panafricaniste ».