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 Le Bénin vu par un jeune 

A Propos De Moi !

  • Christophe D. AGBODJI
  • Journaliste, Ecrivain
Auteur de "La chute du mur de Karakachie"
;  "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"
  • Journaliste, Ecrivain Auteur de "La chute du mur de Karakachie" ; "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 09:13

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La 5e édition des marathons salésiens prévue pour le 11 février prochain n’est plus qu’à quelques jours. Les diverses autorités concernées par l’organisation de cet évènement n’ont pas attendu cette date pour lui apporter leur soutien.

L’après prologue

Dorénavant, les béninois peuvent être fiers d’avoir réussi à inscrire leur pays sur la listes de ceux dont on évoque le nom en parlant de marathon. Et pour cause, l’organisation réussie des 4 dernières éditions des marathons salésiens a redonné une nouvelle vigueur à l’athlétisme béninois.

mairie - ParakouDepuis, le mois d’Octobre 2010, la municipalité de Parakou a pris les mesures nécessaires relevant de son autorité afin de permettre la bonne tenue de cette fête sportive. C’est dans ce cadre qu’entre la prise des notes de services portant autorisation de la pose des affiches et celles permettant le déroulement de la course le 11 février à travers la ville. D’ailleurs, n’a-t-elle également pas tenue sa promesse d’appuyer financièrement le marathon avec une enveloppe d’un million de francs Cfa ? Le ministre Didier Akplogan du Sport  a aussi apporté sa modeste contribution à l’évènement à lui allouant une enveloppe financière de 500 mille francs tout en promettant d’être à Parakou le 11 Février si son agenda le lui permettait. Comme lui, le comité olympique de l’athlétisme, à défaut de pouvoir soutenir financièrement l’initiative l’accompagne tout de même de sa caution morale. C’est également la même affluence qui est notée du côté des athlètes qui prennent déjà toutes leurs dispositions afin d’être prêts pour ce rendez-vous sportif devenu déjà international.

Et alors ?

L’heure n’est plus qu’à l’attente de ce 11 février qui commence par mettre du temps pour arriver. Père Guillaume Kambounon

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