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 Le Bénin vu par un jeune 

A Propos De Moi !

  • Christophe D. AGBODJI
  • Journaliste, Ecrivain
Auteur de "La chute du mur de Karakachie"
;  "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"
  • Journaliste, Ecrivain Auteur de "La chute du mur de Karakachie" ; "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 21:02

logos-salesiens-copie-1 Les plateaux de télévisions, les stations de radio, la presse écrite, l’internet. Bref, tous les médias sont impliqués à la communication autour des bienfaits du sport. En attendant samedi prochain, c’est ici que ça se passe.

Au fur et à mesure que la date de tenue de la 6e édition du marathon salésien s’approche, la communication s’intensifie. Les radios nationales sont impliquées dans le projet. Le spot publicitaire passe à longueur de journées invitant les populations à venir passer à cette fête du sport. Samedi dernier, malgré la Coupe d’Afrique des Nations et la passion qu’elle suscite, 90 mn ont été consacrées à parler d’une discipline sportive qui sauve de plus en plus de vies. Le site internet du marathon (marathon-salesien.fr) sert également de canal de communication ; le compte facebook et certain blog participent également au relai d’un message salvateur pour la communauté béninoise et celle d’ailleurs. Les émissions radiophoniques permettent également aux organisateurs de mettre en état de veille une population absolument vulnérable à un monde de plus en plus dirigé par une science aveugle. Pour une population qui dépense moins d’un dollar par jour et qui ne jouit d’aucune couverture sanitaire, le remède idéal pour la prévention de certains mots passe par la pratique d’activités sportives. Le message passe bien ; les stades se gonflent de monde et rejettent le surplus dans les rues. Dorénavant, on court partout, à n’importe quelle heure et à n’importe quel moment. Il ne reste que 5 jours et les organisateurs ne baissent pas la garde. Il faut aller jusqu’au bout… absolument jusqu’au bout ! 

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