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 Le Bénin vu par un jeune 

A Propos De Moi !

  • Christophe D. AGBODJI
  • Journaliste, Ecrivain
Auteur de "La chute du mur de Karakachie"
;  "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"
  • Journaliste, Ecrivain Auteur de "La chute du mur de Karakachie" ; "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 14:25
L’honorable Rosine Vieyra Soglo, après quelques temps d’absence au parlement a marqué de son retour l’assemblée nationale par certains propos que les béninois interprètent déjà au goût de leur appartenance politique ou principes morales. Au nombre de ceux-ci, Martin Assogba de l’ong Alcrer Bénin donne raison à la doyenne d’âge du parlement béninois. Rosine Soglo n’a pas mâché ses mots ce lundi à l’endroit de certains gouvernants due l’etat béninois. Interrogé sur la gravité des propos tenus par la présidente de la Renaissance du Bénin, Martin Assogba n’est pas d’avis avec ceux qui diabolisent la dame de fer de l’assemblée nationale. Il trouve que Rosine Soglo n’a fait que « se déchainer » faute de ne plus pouvoir se contenir après l’avoir fait pendant assez longtemps. Il pense qu’elle doit avoir ses raisons de le faire car, à ses dires « on entend des choses dans le pays qui ne donnent pas espoir en l’avenir ». Aussi, a-t-il continué : « je comprend que Rosine soit exacerbée et qu’elle se soit vidée. Elle a le droit de parler car, en tant que ex première dame du pays et députée, elle est au courant de beaucoup de choses. » Il a reconnu que la sagesse commande de se retenir mais trouve tout de même que rapport à ce cas, « elle a tellement encaissé qu’elle est obligée de se vider ». Mais, il a prié les béninois de ne pas se mêler aux débats parlementaires. Par ailleurs, il a exprimé sa tristesse de voir que les journalistes aient diffusé ces propos. Selon lui, ces déclarations ne devraient être diffusées et auraient pu rester dans les mûrs du parlement. Cependant, il a conclu l’entretien en trouvant que « Rosine était dans son droit ».
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