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 Le Bénin vu par un jeune 

A Propos De Moi !

  • Christophe D. AGBODJI
  • Journaliste, Ecrivain
Auteur de "La chute du mur de Karakachie"
;  "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"
  • Journaliste, Ecrivain Auteur de "La chute du mur de Karakachie" ; "Le changement, l'autre nom de l'impossible"; En préparation: "Je n'étais pas au pays à l'heure du changement"

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 07:30

Les représentants des institutions de régulation des médias réunies dans le Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication (Riarc) sont à Cotonou depuis hier dans le cadre d’un séminaire régional sur la régulation de la presse écrite. L’éclat de l’évènement parti pour durer 3 jours a été rehaussé par la présence des ministres Awèkè et Bachabi ainsi que celles de certains présidents d’institutions de la république.

L’après prologue

Le Maroc, le Niger, le Mali, le Burundi, le Togo, le Sénégal, le Congo, le Burkina Faso, la Guinée Conakry, le Cameroun, le Centrafrique, le Tchad, le Mozambique, la Mauritanie, le Gabon et le Bénin. Au total, ce sont les institutions de régulation des médias de 14 pays qui se sont réunis à Sun Beach Hotel de Cotonou afin d’explorer ensemble les difficultés auxquelles ils sont confrontés dans l’exécution de leur mission. Théophile Nata na pas assisté à la cérémonie d’ouverture en sa seule qualité de Président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication mais surtout avec son manteau de secrétaire général du Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication (Riarc). Dans son speech, il a rappelé le rôle majeur joué par le Riarc et les objectifs fixés dans le cadre de l’organisation du séminaire. Max Awèkè, le ministre en charge de la communication saluera une initiative qui vient à point  nommé. Selon ses dires, ledit séminaire servira de boussole à une « presse qui donne l’impression de perdre ses repères ou de les rechercher ». La ministre Bachabi, également présente à l’ouverture de la cérémonie est allée dans le même sens. Il faut absolument trouver un moyen pour mettre sur les « rails » une presse qui se perd. C’est à Ousmane Abdouramane, vice-président du Riarc qu’est revenu l’honneur de lancer officiellement la cérémonie. Mais avant ce lancement, l’homme a fait un bref détour sur l’historique de la naissance des organes de presse en Afrique francophone. Au cours de ce séminaire, a-t-il précisé les participants suivront 3 communications majeures sur « les enjeux et défis de la régulation de la presse écrite », « l’état de la régulation dans chaque pays membre du Riarc » et « la problématique de la régulation des cyberjournaux ». Il en a aussi profité pour annoncer que ce séminaire permettra de renforcer les régulateurs dans l’accomplissement de leur mission ; il servira aussi à identifier les facteurs endogènes et débouchera sur des propositions de mesures alternatives.

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